y’a quelqu’un, 2014
Collection Fondation Villa Datris
Pause (rewind fw), 2012
Vue de l'exposition personnelle Consolation, Centre d'art contemporain La Halle des bouchers, Vienne, 2023
André « état d’éveil », 2020
métal, bois, 45 x 140 x 106 cm
Inconsolable, de la série des Consolations, 2023
Bois, miroir, dimensions variables
Collection du Mobilier National © Isabelle Bideau
Vue de l'exposition personnelle Inconsolable, Galerie Maubert, Paris, 2023
Dominique et Michèle (état de veille), métal, peinture cuite au four
Vue de l'exposition personnelle Consolation, Centre d'art contemporain La Halle des bouchers, Vienne, 2023
Michèle et Jean-Pierre (état de veille), 2022 (Gauche)
Sophie, 2020 (Droite), Collection RAJA Art contemporain
Repositionnables, 2017
polyuréthane, métal, 101 x 33 x 14 cm, 101 x 33 x 21 cm
Pour commencer, 2000
Blanche neige et les sept nains, 2006
Bois peint, système électrique intégré (ensemble et/ou séparés), 70 x 70 et 35 x 35 cm
Fonctionnent comme des interrupteurs, Collections particulières
Ne pas y penser «meme en volume», 2014
bois, métal, 150 x 50 x 40 cm
Emma-Sophie et Jules, Série des Innocents, 2023
Sans motif apparent, papier carton et découpe laser, ensemble de 15 pièces, dimensions varaibles, 2017
Collection FRAC PACA
Bent side, 2019 - 2020
Passing relay, silence, 2019
Solid Surface noir et blanc, 130 x 5 x 5 cm
Deployedunfold / unfolded, 2019
Solid Surface noir et blanc, 130 x 20 x 2 cm
De la série des petits aménagements
Isabelle, Etat d’éveil, 2020
Sous le poid de la culture, 2000
Collection MAMCS
Le banquet, 2000
Collection FNAC et Domaine de Chamarande
Entre, 2006, collection MAMCS
S’installer, 2005
Collection FRAC Ile de France
Tu vois le tableau, 1994, collection FRAC PACA
« De ce qui nous regarde, Antinoüs », série des Consolations - le socle, 2023 Pierre de Bourgogne, poli miroir
y’a quelqu’un, 2014
Collection Fondation Villa Datris
Pause (rewind fw), 2012
André « état d’éveil », 2020
métal, bois, 45 x 140 x 106 cm
« rempart », Simon, 2020
métal, bois, 75 x 140 x 20 cm
Repositionnables, 2017
polyuréthane, métal, 101 x 33 x 14 cm, 101 x 33 x 21 cm
Ne pas y penser «meme en volume», 2014
bois, métal, 150 x 50 x 40 cm
De la série des petits aménagements
Sans motif apparent, papier carton et découpe laser, ensemble de 15 pièces, dimensions varaibles, 2017
Collection FRAC PACA
Passing relay, silence, 2019
Solid Surface noir et blanc, 130 x 5 x 5 cm
Deployedunfold / unfolded, 2019
Solid Surface noir et blanc, 130 x 20 x 2 cm
Passing relay, « parenthèse », 2019
Solid Surface rouge et blanc,100 x 5 x 5 cm
Deployedunfold / unfolded, 2019
Solid Surface rouge et blanc, 100 x 20 x 5 cm
Sous le poid de la culture, 2000
Collection MAMCS
Le banquet, 2000
Collection FNAC et Domaine de Chamarande
Entre, 2006, collection MAMCS
Une ombre au tableau, 2002
Vue d’exposition au Musée Régional d’Art Contemporain Occitanie/Pyrénées-Méditerranée
S’installer, 2005
Collection FRAC Ile de France
Tu vois le tableau, 1994, collection FRAC PACA
"Mon travail, en général, est une réflexion sur « le mobilier intérieur » : sur les objets qui nous habitent, les positions mentales que l’on adopte ou qui font que nous sommes capables ou non d’adaptation. C’est un travail simple de sculpture avec la table comme socle idéal et toutes les préoccupations qui se rattachent à un travail de volume mais qui se situent dans « l’entre ». Il ne s’agit en aucun cas d’un travail de design où le pratique est à l’œuvre mais au contraire un travail de correspondance où les possibilités (les manières d’aborder les situations) de chacun s’essaient : la rallonge, la table, le tiroir, le bureau… sont des espaces communs mais qui sont ressentis comme autant de situations particulières. Mon travail est un essai de représentation : le contraire d’une mise en scène ou d’une installation. Je développe le concept de « sculpture d’usage », pas pratique du tout mais tout à fait praticable, où l’histoire du regard est celle de la mémoire. Mes sculptures sont de véritables « architectures intérieures » qui mêlent à la fois des éléments de mobilier, issus de « l’habité » et de « l’habitat », et autres objets d’usage dont je questionne le sens. C’est un travail qui soulève les possibilités du vivre avec, d’abord au travers du regard puis des usages possiblement vécus, abordés. Je m’intéresse plus spécifiquement à l’étymologie de l’intime, ce qui est le « plus dedans », le « plus essentiel » (le langage,). Au-delà du quotidien, c’est notre capacité d’adaptation « intérieure » (le « lieu-dit », le « Decorum »), qui m’intéresse en interrogeant notre manière d’aborder certaines fonctions des objets. J’ai travaillé notamment sur les constructions et les aménagements personnels (psychiques et physiques) que nous sommes tous amenés à créer pour vivre et survivre. D’abord au travers du « décorum » (« convenance » en anglais) et de ses formes puis de ses déformations en relation. Le fond, la forme, le format ou formatage : nous sommes confrontés au « subir » pour ensuite mieux retranscrire et retransformer, accumulant des données culturelles, sentimentales, psychiques, familiales, politiques que nous devons ensuite réordonner. "
Nathalie Elemento est présente dans de nombreuses collections publiques et privées (MNAM, Centre Georges Pompidou, MAC Lyon, CNAP Fonds national d’art contemporain, Musée Art Contemporain de Strasbourg, Musée d’arts de Nantes, FRAC PACA, FRAC IDF, FRAC Limousin, FRAC Bourgogne, Collection F. & D. Guerlain, Collection Société Générale, Fondation Raja et Fondation Villa Datris...).